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comment changer une couche
Maternité VIE DE MAMAN

Ma nouvelle vie de maman

comment changer une couche

Déjà un mois et demi que notre Bubulle nous a rejoints, et que je suis, de ce fait, maman. J’ai l’impression que cela fait des siècles que j’apprenais que j’allais devenir maman. Tout arrive si vite : l’accouchement, le séjour à la maternité, le retour à la maison avec un nourrisson… Finalement, on est vite pris dans le rythme très soutenu des premières semaines, et on ne réalise pas vraiment. Aujourd’hui, je prends le temps de me poser, et de faire le point sur ma nouvelle vie de maman depuis le jour de mon accouchement.

Une amie m’a récemment posé une question : « quelle est la chose à laquelle tu ne t’attendais pas, et qui t’a le plus surprise dans ta nouvelle vie de maman ? » J’ai pris quelques minutes pour réfléchir, et finalement, je lui ai répondu : « le vrai quotidien, en opposition aux idées reçues ».

Pour développer, j’entends par là qu’on a vite fait de penser (et ne me dîtes pas que ça ne vous a pas au moins rien qu’une fois traversé l’esprit…) que s’occuper d’un nouveau né n’est pas si compliqué. De quoi elles se plaignent les mères au foyer ? Ça va, y’a plus fatigant comme rythme, non ? Tu changes 2-3 couches, tu donnes à manger, tu fais des câlins, et ensuite ton bébé il dort toute la journée pas vrai ? Tu as tout le temps que tu souhaites pour te mater une série, et dormir à ta guise en journée. Faut pas abuser, hein ! Je vous avoue, sans filtre, qu’avant mon accouchement, je pensais sincèrement que j’allais avoir encore un peu de temps pour moi, que oui, je pourrai m’organiser pour faire ma vie pendant les siestes de ma Bubulle d’amour ♥

En fait, non.

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S’adapter à un nouveau rythme

Les 2-3 premières semaines de vie de votre enfant (qui sont clairement les plus épuisantes…), vous ne vivez que pour lui. Au-delà de l’aspect nouveauté et qu’il faille s’adapter du jour au lendemain à un nouveau rythme de vie, on est complètement pris dans le tourbillon des besoins de notre bébé. Ce petit être entièrement dépendant de nous. Une énorme responsabilité qui nous incombe en quelques heures. La vie et le bien-être d’un autre individu dépendent de nous tout de même…

C’est nouveau, alors à chaque pleur, on se demande  » qué pasa ? ». Au départ, et durant les 3 premières semaines, j’étais sous pression en permanence ou presque. En fait, j’étais sans arrêt dans l’attente. L’attente d’un prochain besoin, d’un nouveau biberon, d’une nouvelle couche à changer, d’une douleur, d’un chagrin… Je ne savais donc pas profiter justement de ces temps calmes. De plus, je faisais tout quasiment de manière mécanique. Changer la couche presque comme un robot, surtout lorsque j’étais très fatiguée (on accumule beaucoup de fatigue depuis la maternité…) arrivait régulièrement. Et puis, il faut dire qu’il y a tous les à côtés : les nombreuses lessives (au moins 2 par jour ^^), le ménage, la préparation des prochains biberons… Ce qui avant était normal devient impossible. Allez faire une course se transforme en véritable opération , me laver les cheveux est un luxe et savourer mon petit déjeuner un rêve. Bref, ce n’était pas du tout facile et je me suis clairement demandé comment j’allais tenir le rythme ?

Relativiser et apprendre à lâcher prise

Aujourd’hui, à un mois et demi, j’ai appris à reconnaître chacun des pleurs de ma baby girl, et à beaucoup moins les appréhender. Je sais par exemple lorsqu’elle a un besoin « urgent » ou si je peux prendre 5 minutes pour terminer de me rincer sous la douche, ou avaler tranquillement ma biscotte sans m’étouffer. Je sais également être plus détendue face à ses besoins, ou ses pleurs. Ce qui facilite grandement mes journées.

Parfois, elle commence à « chouiner », je la regarde, et cela ne sert à rien que j’aille la prendre immédiatement dans mes bras, elle se calme d’elle-même ou alors il s’agit simplement de pleurs « reflex » qui ne durent que quelques secondes. Par contre, si cela augmente en intensité (attention les oreilles ^^), là évidemment, je stoppe mon activité.

Il y a quelques semaines, il m’était clairement impossible par exemple de rédiger un article sur le blog. Aujourd’hui, j’arrive petit à petit à m’organiser, et cela va, je pense, aller en s’arrangeant.

Sortir en poussette par exemple, est devenu facile et plaisant, et j’essaie de le faire tous les jours pour elle, mais aussi pour moi. Au départ, je stressais pour tout le côté mise en place, ne rien oublier, « et si elle réclame à manger pendant la balade ? Et si elle a besoin d’être changée ? ». Et bien, elle réclamera, et on rentrera, c’est la vie. Mais par précaution, je prends toujours le sac à langer avec un biberon et une dose de lait prête dans le doseur. On ne sait jamais, des fois qu’on resterait coincées dans l’ascenseur… !

Finalement, en comparaison avec d’autres nourrissions de mon entourage, elle ne pleure pas beaucoup. En fait, elle ne pleure (ou ronchonne) seulement pour la couche ou pour manger. On s’estime donc heureux (pour le moment, car tout peut changer ^^). Il lui arrive parfois d’être un peu plus à fleur de peau le soir, mais avec des câlins, et le bain, elle se détend plutôt facilement. Et concernant son RGO, on a clairement vue une amélioration depuis qu’on lui donne le Gaviscon et l’Inexium. Nous poursuivons également les massages tous les jours.

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Profiter

Le temps passe si vite. Comme ma grossesse, qui a filé à une allure pas possible. La fin de ma grossesse me semble aujourd’hui si lointaine. Surtout que j’ai « manqué » 3 semaines. Aussi, j’essaie de profiter de chaque instant avec ma fille. Des câlins, des sourires (oui, déjà !), des temps calmes, et des photos, tellement de photos. Je peux passer de longs moments à la contempler en train de dormir. Elle est si paisible. Elle change si vite, chaque matin j’ai l’impression qu’elle a grandit davantage.

Si en semaine nous avons un rythme régulier, le weekend, c’est un peu plus cool, surtout le matin où nous avons notre petit moment tous les trois. Notre Bubulle vient dans le lit de son papa et sa maman, pour sa sieste du matin. Un moment privilégié que j’apprécie énormément.

En 6 semaines, nous avons appris à faire connaissance, à trouver notre rythme. Nous sommes clairement plus détendus. Et cela se ressent nettement au quotidien. Nous profitons de chaque instant passés. Et c’est l’essentiel.

N’hésitez-pas à me suivre sur mon compte Instagram où je partage mon quotidien de jeune maman (entre autres choses) !


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Maternité PUÉRICULTURE

J’ai testé : la Baby Box French Poupon

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Hello les filles, aujourd’hui, je vais vous partager mon avis sur la Baby Box French Poupon.

Quézako ? De quoi elle nous parle ? Il s’agit d’un berceau en carton (oui, oui), entièrement conçu avec des matériaux sains, dans le respect de l’environnement (entièrement recyclable), et de fabrication 100% française.

Quoi ? Elle est sérieuse ? Elle fait dormir son bébé dans une boîte en carton ?

Oui, complètement. Explications…

Avec Jules, en attendant la livraison de notre nouvel appartement dont nous sommes les heureux propriétaires, nous sommes actuellement locataires d’un T2 : une chambre, et un salon (+ cuisine et salle de bain). Aussi, dans un premier temps, nous avons décidé d’installer notre baby girl dans le salon. La place étant est cruciale, nous économisons le moindre mètre carré. C’est pourquoi, pour les premières semaines de notre petite fille, nous souhaitions un cocon, un petit berceau qui ne prend pas de place.

Lorsque j’ai été contactée pour tester cette Baby Box, c’était l’occasion. Nous l’avons donc installée dans notre salon actuel, à côté de la table à langer faite par Jules. Et vu que cette petite poupette est arrivée 2 semaines et demie en avance, je ne regrette pas d’avoir tout organisé en avance ! La seule question qui restait alors, c’était de savoir si elle allait apprécier son berceau, et bien dormir dedans. La base quoi ^^

À mon retour à la maison, après mon séjour de 3 jours à la maternité, j’avais une petite appréhension au sujet de l’adaptation de ma Bubulle avec son nouveau lit. Finalement, elle n’a pas bronché, et l’a immédiatement adopté. Il faut dire que le format est exactement le même que celui du berceau qu’elle avait à la maternité, ça aide. Et comme là bas, nous avons légèrement surélevé le haut du matelas (fournis avec la box) afin de limiter les régurgitations.

Elle se sent totalement en sécurité et à l’aise dedans, ça se voit. Le matelas est très confortable, et conforme aux recommandations des pédiatres.

Rassurez-vous, il ne s’agit pas d’une boîte en carton Colissimo ! Non, le berceau est composé de carton et papier kraft 100% vierge, épais (c’est bien solide comme du bois), et l’encre est à base d’eau. Aucun vernis ! À l’origine, il s’agit d’un concept des pays nordiques, avec un trousseau distribué gratuitement aux mamans.

Pour le moment, et depuis 3 semaines, la box nous correspond totalement, et à notre fille aussi. C’est surtout ça le principal. Elle peut être utilisée de la naissance jusqu’à 6 mois. Cependant, nous ne l’utiliserons pas jusque là, car nous allons recevoir un lit prochainement. Nous avons en effet changé la disposition de notre appartement. Nous avons laissé notre chambre à notre Bubulle, qui a donc la place maintenant d’avoir un lit de grande, et nous, et bien, nous nous sommes installés dans le salon. En mode studio ! Mais, nous garderons sans aucun doute la baby box pour ses siestes dans le salon, ou comme boîte de rangement pour ses jouets et ses livres. Bref, elle servira toujours ! C’est clairement un produit que je recommande.

D’une valeur de 89 euros, la box nomade que j’ai reçue est composée de : une box en carton, un matelas déhoussable, une protection de matelas, un liniment 500ml et des serviettes hygiénique (dont je me suis servi à la fin de mon retour de couche).

Dimensions : 72cm x 30cm x 44cm
Composition : certification Oeko-Tex Standard 100 et Centipur
Fabrication : 100% française

Vous connaissiez le concept ?

baby box finlande

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Life Style

Tic, tac, mon horloge biologique s’est mise en route ?

horloge biologiqueJe vous retrouve aujourd’hui pour vous parler d’un sujet très personnel: le désir d’être maman, les règles, la contraception. Si vous n’êtes pas intéressées, vus pouvez passer votre chemin. Sinon, je vais vous ouvrir mon cœur, me confier à vous sur le sujet. Mon discours sera peut-être confus, car j’écris avec mon cœur…

J’ai 27 ans et demi. Oui, le « et demi » est important, car j’approche de plus en plus des 28 ans. Il y a un an, à la même époque, je ne pensais pas à être mère. Bien sûr, avec Jules, parfois, on y faisait allusion, mais sans plus, et pas sérieusement. Depuis quelques mois, c’est une pensée qui m’occupe quotidiennement, presque constamment. J’en parle très souvent autour de moi, nous en discutons avec Jules, je me projette, chaque détail de ma vie se voit attribuer un lien avec la maternité, toutes les décisions que je prends sont liées à mon futur bébé, bref… Mon horloge biologique est-elle en route ?

Je suis à la fois impatiente, et effrayée. Décider de devenir maman, réaliser que je suis prête, c’est une chose. S’en est une autre de se lancer et de comprendre que c’est un engagement. Un engagement à vie. 

Je le veux. Maintenant. Mais je ne peux pas tout de suite. Nous avons des projets à concrétiser avant de nous lancer dans l’aventure. Projet immobilier notamment. Nous ne pouvons actuellement pas accueillir un bébé dans de bonnes conditions dans notre 40m2. A mon grand regret… 

Il faut également réfléchir à nos situations professionnelles. Avec Jules, nous travaillons tous les deux beaucoup. Au bureau de 8h à 19h. Nos parents habitent à ‘autre bout de la France. Comment allons-nous gérer au quotidien un bébé avec de tels horaires ? Allons nous mettre tout un salaire en garderie ? Et faire un bébé pour ne jamais le voir, ce n’est pas mon but… Il faut trouver uns solution. Enfin ça, c’est si le bébé en question arrive, comme nous le souhaitons, d’ici un an et demi. 

Nous avons de nombreux amis autour de nous qui eux, ont pris la décision de se lancer dans l’aventure de la maternité, et qui ne sont toujours pas parents. Aussi, j’ai cette crainte au fond de moi. D’accord, je veux être maman dans 1 an et demi. Mais ça, c’est si tout se passe bien. Mais, est-ce vraiment tout rose  ? Et si je n’arrivais pas à tomber enceinte de suite ? Si le temps que je laisse actuellement, serait cruellement regrettable dans un an et demi, si c’était du temps de perdu, à essayer ? Cette peur est omni-présente au fond de moi. Je la partage avec vous ici. 

J’en parlais avec mon amie Cindy, qui me disait que peut-être je ne devrais pas attendre, et essayer tout de suite (on ne devrait même pas dire essayer). Que si, par malheur, cela prend du temps, je regretterai d’avoir pour le coup « perdu » ce temps à attendre. 

Je prends la pilule depuis l’âge de 17 ans. Avant cela, je n’avais pas des règles régulières. Lorsque j’arrêterai la pilule, je retrouverai certainement ces cycles irréguliers, et cela sera donc compliqué de tomber enceinte… ? J’ai beaucoup de craintes, justifiées ou non. 

Êtes-vous maman ? Votre horloge biologique s’est-elle activée ? Quel est votre point de vue la dessus ?

Sources utiles: Effets secondaires de la pilule, Vitaemed.com / Topsanté

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