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Maternité VIE DE MAMAN

Mon rôle de maman : une révélation

relation mere fille

Cela fait 5 mois aujourd’hui que je suis devenue maman. Je repense très souvent à ces journées extraordinaires qu’ont été les 3 et 4 mars dernier. Mon accouchement reste indéniablement le plus beau jour de ma vie. Quoi, elle va encore nous parler de maternité, et de sa vie de maman, et blablabla… ? Et oui les filles, ce blog, je l’ai créé il y a quelques années, et j’ai toujours su qu’il évoluerait en même temps que moi.

Aujourd’hui, j’avais donc envie de partager avec vous ce bonheur que je vis au quotidien. Celles qui me suivent sur mon compte instagram maternité savent qu’il y a, et c’est normal, des petites baisses de régime (bien qu’elles soient rarissimes ^^), mais en grande majorité, je n’ai jamais été plus heureuse que je le suis à l’heure où j’écris ces lignes. Être maman est pour moi une véritable révélation.

Je sais qui je suis, je suis une femme avant tout, mais je ne suis plus seule, je suis aussi désormais une maman. Et mon objectif est d’éduquer ma fille, en faire une bonne personne, et m’assurer de son bonheur. Notre devoir, accompagné de son papa, est de lui transmettre toutes les clefs dont elle aura besoin, et de lui donner l’accès à la culture, afin qu’elle puisse être libre de ses choix.

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Crédits photo © Gaëlle Photographed

Devenir mère : une révélation

Ça peut parâtre exagéré, mais oui, j’ose le dire : mon rôle de maman est aujourd’hui une véritable évidence. Il y a quelques jours, alors que je passais un moment câlin avec ma fille qui aura mois dans quelques jours, une pensée m’a traversé l’esprit. Et ce n’était pas la première fois. J’observais mon bébé, et je lui ai dit à voix haute ce que j’étais en train de penser : « Blanche, tu sais, cela ne fait que 5 mois que tu es parmi nous. 5 mois, ce n’est pas grand-chose pour moi. À l’échelle de ma vie, moi qui vais avoir 30 ans en fin d’année, 5 mois, ce n’est rien. Et pourtant, j’ai l’impression que tu as toujours été là« .

Dans un de ses romans, Amélie Nothomb met en scène une mère et son enfant. Lorsqu’elle tombe enceinte, le personnage à un déclic en réalisant qu’elle n’est désormais plus le personnage principal de la vie, mais qu’elle devient alors secondaire. Que le personnage principal, maintenant, c’est l’enfant qu’elle porte. J’ai trouvé cette métaphore juste. C’est exactement cela que je ressens depuis que je suis maman. Bien entendu, cela ne veut en aucun cas dire que je m’oublie. Absolument pas. Mais j’ai conscience, et c’est un réel bonheur, que ma fille EST la suite. Ma fille prend le relai de la vie, la continue et ce qu’il y a d’extraordinaire lorsqu’on est maman d’une petite fille, c’est de se dire qu’un jour elle aussi, donnera la vie.

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maman poule
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La mère que je suis vs la mère que j’imaginais être

Je suis une maman zen

On a beau dire, devenir maman, ce n’est pas nécessairement inné. J’ai toujours pensé que, bien entendu, je serai une mère très affective, comme l’est la mienne, mais que j’aurais du mal à gérer les moments de crise. Pourtant, moi qui suis plutôt en règle générale de nature anxieuse, je me suis vite rendu compte que je ne l’étais absolument pas avec mon bébé. J’ai tout de suite été hyper zen.

Ce n’est pas un scoop, les bébés sont de vraies éponges. Aussi, si vous êtes stressé, c’est le cercle vicieux : votre bout de choux le ressent, et va encore plus s’agacer.

Dès le départ, et sans l’avoir prévu, sans y penser, je me suis surprise à être super cool. Les premiers temps n’étaient pas évidents avec le RGO +++ de notre fille, qui passait ses journées à souffrir et donc pleurer. Loin de moi l’idée de stresser (à quoi bon ?), de paniquer. Non, cela ne sert à rien. Je lui chantais des chansons, la berçais. Il en était de même lorsqu’elle avait faim. Bubulle ne connaît pas la demie-mesure. Elle passe du silence à d’un coup, les hurlements de faim (si je n’ai pas pris les devants avant bien sûr, ce qui reste tout de même rare). Aussi, dès qu’elle pleurait (ou pleure, même si ça ce compte aujourd’hui sur les doigts d’une main), je le prenais à la rigolade, en lui disant très calmement « mais qu’est-ce qui se passe ma choupette, quelle est la situation », tout en préparant son biberon par exemple. Cela la calmait direct. Idem pour tous les moments où elle s’agaçait (le séchage après le bain en plein hiver, etc…).

Aujourd’hui j’utilise encore cette méthode de la zen attitude quand elle râle pour la sieste. Je la regarde s’énerver. Je ne dis rien. Elle me regarde la fixer et s’arrête immédiatement. Je marque un temps de silence. Et là je lui dis quelque chose comme « dis donc ma cocotte, c’est quoi cette comédie ? Tout va bien, je suis là, doudou est là ». Je fais un bisou à son doudou qui vient ensuite lui en faire un. Sourire assuré. Et hop, bébé calmé. De manière générale, si vous vous demandez comment faire-faire ses siestes à bébé, la notre n’a jamais eu de problème, et je vous donne notre méthode dans un article. Ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres.

Tout ça pour dire que même en situation de crise, je ne m’énerve jamais, je ne vais jamais vite dans mes mouvements, et même si parfois je suis inquiète (comme la première fois qu’elle a eu de la fièvre avec 38,7 et qu’elle vomissait), je ne lui montre jamais, et garde le sourire. Cela l’apaise toujours et elle est rassurée.

Je suis une « maman au foyer »

« Quel genre de mère seras-tu ? » Je ne compte plus le nombre de fois où l’on m’a posé cette question durant ma grossesse. Bien qu’incertaine, (car qui peut le prévoir ?) ma réponse s’orientait généralement sur : une maman affectueuse, mais je pense que je ne pourrais pas rester H24 à m’occuper d’elle.

FAUX. Cela fait 5 mois que j’ai accouché, et nous n’avons pas encore de nounou pour notre baby girl. C’est moi qui m’occupe à temps plein de ma choupette. Tout en conciliant mon travail de freelance, ce qui explique les guillemets à l’expression « maman au foyer » (et oui, je ne chôme pas !). Idéalement, nous recherchons la perle rare pour fin septembre, elle aura alors 6 mois, mais n’étant absolument pas sérieux dans nos recherches… Et cela ne me pose aucun souci. Je n’aurais jamais pensé que je garderai mon bébé au-delà de 2 mois, et pourtant. Il n’y a même pas eu de débat, cela s’est fait naturellement.

Et pour stopper les interprétations, non, je ne garde pas égoïstement ma fille pour moi. Absolument pas. Je la sors pratiquement tous les jours, elle voit du monde, est très sociable. Je ne la retiens pas cloitrée à la maison. Ceci étant précisé, je ne regrette pas le moins du monde ce choix. Les instants passés avec elle sont si précieux, si éphémères… Évidement, ce choix s’accompagne de contraintes : je gagne moins bien ma vie car je ne peux pas travailler à temps plein (mais cela compense le salaire qui serait versé à une nounou…), c’est beaucoup de fatigue (oui, s’occuper toute la journée d’un bébé, c’est éreintant physiquement et moralement). Mais encore une fois, c’est un choix de ma part et je le referais 100 fois.

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Mais alors, quel genre de maman es-tu ?

En voici une question difficile. Il m’est quasiment impossible d’y répondre, car j’essaie d’être un bon mixe de tout ce dont mon enfant a besoin : la stabilité avec des repères définis, de l’attention et de l’amour (beaucoup), de l’indépendance aussi (je lui laisse son espace, et des temps où elle peut se retrouver au calme seule) qui va de pair avec la liberté. Et je sais aussi me montrer ferme lorsqu’il le faut. Elle comprend très bien le « non ».

En fait, la plus simple des réponses que je pourrais faire, c’est : comme ma maman. Si j’arrive à être un mère comme l’a été la mienne pour moi, alors j’aurais tout bon. D’ailleurs j’en profite pour me féliciter de la magnifique relation que j’ai la chance d’avoir avec ma maman. Maman, si tu passes par là… Tu es mon modèle.

Je vous retrouve dès maintenant sur mon
compte maternité Instagram @ lescapricesdiris !

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tendance chapeau de paille
LOOK Mode

Le cas du chapeau de paille

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Hello les filles, me revoilà par ici avec un article look. Oui, ça faisait un petit moment, c’est vrai. Depuis que je suis maman, j’ai tendance à parler beaucoup de maternité par ici. Mais pas seulement, et c’est le cas aujourd’hui. Alors c’est parti pour le défi du mois de juillet avec la team Défi Look : porter le chapeau de paille. Un basique, me direz-vous, mais au final, je n’en avais pas / plus dans ma garde-robe. J’ai dû demander à ma maman de m’en apporter un spécialement pour shooter ce look avec un chapeau de paille. La combinaison verte non plus n’est pas à moi. Décidément, elle pique tout dans le dressing des autres cette Iris (oui je parle de moi à la 3è personne). Pour cette tenue, c’est pas faux, je vous l’accorde.

J’avais envie de quelque chose qui change de ce qu’on a l’habitude de voir. Je ne vous cache pas qu’au départ, j’avais pensé à un look avec des pièces blanches, vaporeuses, de la dentelle, et puis finalement j’ai trouvé ça trop « facile ». Trop « on s’y attend ». Et lorsque j’ai vu ma sœur débarquer avec sa combinaison verte (oui, elle la portait sur le dos), nos regards se sont croisés, on a pensé à la même chose. Ni une, ni deux, nous inversions nos tenues le temps d’aller faire ces quelques photos.

Ce n’est pas une mauvaise idée, de jouer la carte de l’emprunt. J’ai fait un tri drastique dans ma penderie pendant ma grossesse, et j’ai continué depuis la naissance de ma fille. Je n’achète quasiment plus de vêtements depuis quelques années déjà. L’enseigne Grain de Malice reste ma chouchoute. Sinon, je privilégie le seconde main, avec Vinted notamment, ou dans les friperies. Mon dressing Vinted est d’ailleurs bien fournis, alors n’hésitez-pas à y jeter un oeil ^^

Nous ne sommes pas allées bien loin. Dans la rue en bas de chez moi. Facile. Mais c’était un shooting improvisé, que voulez vous. Ça me rappelle tellement les début de mon blog, lorsque Jules prenait toutes mes photos. Nous y passions chaque fois 1 ou 2 heures par weekend, avec des allers-retours dans l’appartement pour me changer. Je me rends compte de sa patience…

comment-porter-le-chapeau-de-paille

Me revoir comme ça en photo me fait tout drôle. Je me trouve si changée. Pas physiquement (quoique forcément, les années passent et je suis devenue maman entre temps…) mais comme me le disais mon amie Gaelle, mon visage a changé. Elle y trouve quelque chose d’apaisée, de serein. Et s’y je prends le temps d’y réfléchir, elle n’a pas tord. Je suis très épanouie, en étant freelance, maman, mariée, bien entourée par mes amis, en écartant toutes les sources de conflit, et cela doit se ressentir sur mes traits, sans doute ?

En tout cas, j’ai repris doucement les shootings, comme vous avez pu le voir sur mon compte Instagram. Vous êtes d’ailleurs de plus en plus nombreuses à m’y suivre, et je vous en remercie beaucoup ♥ Mais, comme vous le savez peut-être, Instagram a déjà eut quelques bugs, aussi, n’hésitez-pas à vous abonner à la newsletter afin de ne manquer aucun article !

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Je vous embrasse et vous souhaite une belle semaine !

Et on retrouve les looks des copines de la team !

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les avantages et inconvenients du statut auto entrepreneur
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Le statut auto-entrepreneur : avantages et inconvénients

devenir auto entrepreneur

« Que vas-tu faire de ta vie Iris ? » Voici une question que j’ai dû entendre des milliers de fois étant plus jeune. Et à chaque fois, je changeais de réponse, avec une nouvelle idée. Mais ce qui restait constant, c’était l’envie d’entreprendre. Je voulais faire quelque chose par moi-même. De plus, je n’ai jamais apprécié qu’on me donne des ordres, je me voyais donc évoluer dans un univers assez libre. J’ai toujours été créative. Toute petite déjà, j’inventais des histoires, et je les apportais même au collège pour les lire durant le cours de français. J’aimais aussi la calligraphie, et ce qui se rapportait aux travaux manuels visuels (perles, collages, découpage, pliage…). Ce n’est donc pas une surprise pour mon entourage de me voir aujourd’hui à mon compte. Oui mais, devenir auto-entrepreneur est-ce vraiment la liberté ?

Je vous parlais dans cet article de mon parcours scolaire. Aujourd’hui, quelques années plus tard et avec du recul, je fais le point sur mes choix de vie professionnelle. Je suis free-lance, par souhait, et je ne regrette pas du tout ce statut. Si c’est un mode de vie qui peut à première vue faire rêver, il faut toutefois être réaliste et sûr de soi avant de se lancer dans cette aventure, et avoir pleine connaissance des aspects que représente ce statut professionnel.

Je possède donc une micro-entreprise, qui me permet de proposer mes services en tant que rédactrice-web, community manager, et créatrice de contenu. Cela me permet également de travailler avec ma casquette de blogueuse / instagrameuse. N’hésitez-pas à me contacter ici si vous souhaitez me proposer une mission ^^

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Les avantages et les inconvénients du statut auto-entrepreneur

Les inconvénients

Commençons par les côtés les moins attractifs. Être à son compte, c’est comme pour tout en fait. Cela a des bons côtés, et des moins bons. Si vous êtes libres d’organiser votre emploi du temps comme vous le souhaitez (vous levez très tôt le matin et être off une partie de l’après-midi, ou inversement), vous êtes totalement dépendants de votre travail et de vos clients. Pas de projets, pas de travail. pas de travail… pas de travail. Et autant le savoir tout de suite, on ne va pas vous fournir les contrats tout farcis dans le bec. Ça ne tombe pas du ciel. Non, c’est à vous de jouer le commercial et de vous vendre. Bref, d’être pro-actif. Alors oui, c’est facile de s’imaginer faire la grasse mâtinée tous les jours, et bosser 2h par-ci, par là, mais, à la fin du mois, ça sera moins rigolo. C’est pour ça que c’est un préjugé qui ne tient pas la route, bien qu’il reste très tenace encore aujourd’hui.

Contrairement à un emploi salarié où vous avez des congés payés et des congés maladie, en free-lance, si vous ne travaillez pas, vous ne gagnez pas d’argent. CQFD. Vous souhaitez faire une vraie coupure pour profiter d’une ou deux semaines de vacances ? Ok, mais vous prenez le risque de perdre vos clients… Depuis que je suis à mon compte, je n’ai JAMAIS pris de congés. Certes, je pars tout de même en vacances au bord de la mer, à la campagne, bref, je change d’air. Mais ce n’est jamais sans travail. Je bosse dans un décor différent, mais je travaille tout de même tous les jours, même si j’essaie de m’organiser en amont pour avoir une charge moindre.

Les avantages

En étant free-lance, je suis libre de mes horaires. Cela dépend des jours, mais je travaille généralement beaucoup tôt le matin jusqu’à midi. Je peux ensuite m’accorder du temps pour moi ,pour prendre l’air, effectuer des tâches ménagères, aller voir des copines, me faire épiler les sourcils… Pour ensuite reprendre le travail un peu plus tard dans la journée. Aujourd’hui, depuis que je suis maman, mon emploi du temps s’articule plutôt autour du rythme de ma petite fille, et cela me convient parfaitement. C’est très important pour moi de pouvoir être présente physiquement pour mon bébé.

Ce qui me tient le plus à cœur dans mon statut d’auto-entrepreneur, c’est la mobilité géographique. Je suis apte à travailler n’importe où. J’ai ainsi la possibilité de rendre visite à ma famille, de passer du temps avec mes parents. Je ne suis pas dépendante de la validation d’un congé par mon patron. Je peux partir quand je le décide, au dernier moment s’il le faut. C’est un point super important pour moi, je déteste les transports en commun. Le fait de devoir prendre le métro tous les matins et tous les soirs, uniquement pour me rendre au bureau, est quelque chose que je trouve vraiment agaçant. Je suis bien plus pro active chez moi. Je trouve que c’est une perte de temps (littéralement), d’énergie, et d’argent, puisque c’est un temps qui pourrait être mis à profit pour travailler, justement. Bien sûr, cette réflexion est valable pour un emploi qui, comme le mien (rédactrice web / cm / content creator), peut s’effectuer n’importe où.

Travailler en open space me dérange profondément. J’ai besoin de calme pour travailler efficacement et c’est impossible lorsqu’on entend les conversations téléphoniques, les papotages, la musique, etc… Je travaille principalement à la maison, au calme ou avec un fond sonore mais parce que je l’aurai décidé. Il m’arrive aussi parfois d’aller dans un lieu public comme un café, une bibliothèque, mais c’est toujours par choix. J’ai également de temps en temps des rendez-vous que je regroupe généralement sur une journée pour être plus efficace.

Je choisis les projets qui m’intéressent. L’avantage, c’est que je peux travailler sur des thématiques qui me tiennent à cœur et dans lesquelles je suis à l’aide. Je peux également varier les domaines et les tâches. En effet, je suis rédactrice web. J’écris. J’aime beaucoup cela. Mais je suis également créatrice de contenu. Je réalise des photos et vidéos pour les supports de communication de mes clients (fiches-produits, blogs). Je suis également community manager, ce qui va de pair ^^ Je me déplace lors d’évènements pour immortaliser en images les temps forts d’une entreprise, le lancement d’un produit, une soirée… Je suis passionnée par mon travail, et me donne à 100% sur chaque mission. D’ailleurs, si vous recherchez une personne pour vos projets, n’hésitez pas à me contacter ici ^^

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Crédits photo © Gaëlle Photographe

Ma casquette de blogueuse / instagrameuse

En tant auto-entrepreneur, j’ai une micro-entreprise avec un numéro de Siret. Je suis donc en mesure de facturer chacune de mes prestations à mes clients. En tant que blogueuse et instagrameuse, je suis régulièrement sollicitée par des marques pour des collaborations et tests produits. La plupart du temps, il s’agit de partenariats gratuits. Je ne touche aucune rémunération, si ce n’est le produit en lui-même (ce qui est tout à fait normal, car je ne vois pas comment je pourrai tester et partager un avis sur quelque chose que je ne connais pas…). Cela me permet de rester objective, et de décider de vous en parler seulement si je l’ai apprécié.

Cependant, il arrive parfois qu’une marque offre une rémunération pécuniaire en plus du don du produit. Dans ces cas-là, je reçois généralement un brief avec les points sur lesquels l’enseigne souhaite insister. Et j’ai l’obligation de vous parler du produit. Je suis néanmoins toujours libre de donner mon véritable avis, à partir du moment où ce dernier est constructif. Sachez que je n’accepte absolument pas toutes les demandes et ne donne suite qu’à celles qui me semblent pertinentes et dans mon univers. Je ne vois pas l’intérêt de vous parler d’un produit que je n’utiliserai pas pour de vrai. Cela me semble logique, mais parfois, l’appât du gain peut ternir le bon sens… C’est comme l’achat de followers, de commentaires ou de likes, mais ça, c’est clairement un autre sujet !

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Un choix réfléchi

Se mettre à son compte, ça ne se décide pas sur un coup de tête. Il faut pouvoir se lancer en toute connaissance de cause, et avoir un minimum de ressources ou de soutien financier derrière soi. Il faut être courageux, et bosseur, et savoir se montrer rigoureux et organisé (les factures, la compta, c’est à vous de tout gérer ^^). Une fois que vous êtes sûrs de vous, il ne vous reste plus qu’à sauter le pas. Aujourd’hui, il est très simple, et surtout très rapide de se créer un statu auto-entrepreneur. Tout se fait maintenant en ligne.

Pour conclure, je dirai que je ne regrette pas du tout mon choix . Je ne dis pas que je ne repenserai pas à un emploi salarié dans quelques années (j’ai travaillé en CDI à plusieurs reprises et ce fut de bonnes expériences à chaque fois), mais pour l’instant, ce n’est pas au programme. Alors oui, je gagne (beaucoup) moins qu’en étant en CDI, je n’ai pas la sécurité de l’emploi, mais je suis heureuse et c’est ainsi que je suis la plus épanouie. Et après tout, le but dans la vie, c’est le bonheur, non ?

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