Pour bien démarrer la rentrée, et l’entamer du bon pied, quoi de mieux que des vacances de dernière minute ? C’est ce que nous avons fait avec Jules, la semaine dernière. Partir sur un coup de tête. Rentrer du travail un soir et se dire « on part la semaine prochaine ? » Ok ! Où ? Ça aussi on l’a décidé au dernier moment.
Finalement, c’est l’Espagne qui l’a remporté haut la main. C’est beau l’Espagne. Et puis, le prix était intéressant, au dernier moment.
Je suis déjà allée en Espagne, l’été 2008 juste après mon bac (ça ne nous rajeunit pas tout ça^^) pour suivre un cursus universitaire d’été. C’est à Salamanca que j’ai passé un mois super, entre les cours, les échanges culturels avec les étudiants internationaux, la vie chez l’habitant… Je remercie vraiment mes parents de m’avoir une nouvelle fois permis de vivre cette expérience enrichissante ! Bref, tout ça pour dire que j’avais déjà mis les pieds sur le territoire Espagnol, mais en son centre donc.
Avec Jules, c’est dans le sud du pays, la Costal del Sol, que nous avons posé nos valises pour une semaine. Plus précisément à Estepona, commune de Marbella. Entre les montagnes et la mer, nous avons bénéficié d’un micro climat avec des températures aux alentours de 30 degrés jamais plus, accompagnées d’un vent très appréciable.
Après deux jours à lézarder sur nos transats au bord de la mer ou de la piscine, nous sommes allées explorer les alentours. Et, à seulement 3 heures de Grenade, il était impensable de ne pas partir découvrir cette magnifique ville, imprégnée de la somptueuse architecture arable, et marqué par plus de 700 ans de domination musulmane. Nous partons donc avec notre sac-à-dos.
Premier arrêt : L’Alhambra. Il faut le voir pour le croire. Des paysages magnifique, un décors digne des contes des milles et une nuits. Je suis émerveillée encore aujourd’hui.
Deux jours plus tard, c’est en 4×4 que nous partons explorer un petit village blanc et sa réserve naturelle, protégée par l’Unesco. En plein milieu des montagnes ! Nous découvrons comment est fabriquée l’huile d’olive, de sa récolte jusqu’à sa mise en bouteille. Nous sommes surpris d’apprendre qu’il faut environ 8 kilos d’olives pour faire un litre d’huile. Et puis, saviez-vous que les noyaux contiennent plus d’huile que la chaire en elle-même ?
Juste avant de publier cet article, la carte-mémoire de mon appareil photo a rendue l’âme, et j’ai perdu toutes les photos de mon voyage… J’ai pu récupérer celles que j’avais posté sur les réseaux sociaux, que voici… Pour vous faire partager un peu tout ça !